Accueil
Recherche
Djeka & G.Nea

Djeka & G.Nea

Djeka & G.Nea

02.08.2017 - 10:00 > 03.08.2017 - 19:00

Présentation des oeuvres // ateliers

DJEKA

Dans cette série, Djeka revisite les grands classique de la peinture occidentale, de l’antiquité à nos jours, en s’appropriant les nus de Raphael, Ingres ou encore Matisse. Point de départ de ces créations, les palimpsestes de l’artiste sont une accumulation de fragments d’images, de matières et de textes sur lesquels reposent ces silhouettes de femmes aux formes généreuses.

Les mêmes figures de femmes reviennent inlassablement, références directes aux statuaires Akan. Pour l’artiste, le nu est omniprésent dans l’histoire de l’art tant dans la peinture occidentale que dans les statuaires traditionnels Akan.

Les Akans - descendants de la Reine Abla Pokou (XVIIIe) – ont pour caractéristique d’être un groupe ethnique dont les sociétés sont matrilinéaires, le femme revêt un rôle essentiel tant de le domaine politique, économique que social. Dans cette dynamique, Djeka pose un regard quasiment divin sur la femme, sur celles qui donnent la vie, perpétuent les générations, transmettent le pouvoir et le savoir.

Selon l’artiste, la globalisation tend à évincer les minorités et les traditions au profit d’une uniformisation des modes de fonctionnement et de pensée. Djeka invite à repenser la place des femmes dans nos sociétés, il affirme l’importance de déplacer le regard pour observer les différents systèmes qui ont fondé la complexité du continent.

____________________________________________________________

G.NEA

Arrêtons, installation, 2017.

Arrêtons est une installation composée d’une sculpture centrale surélevée, entourée de 33 masques.

Cette œuvre est un écho aux multiples conflits armées qui persistent et éclatent chaque jours dans ce monde. Les 2400 (appellation commune des machettes au Bénin) incarne par métonymie, toutes les armes utilisées qui perpétuent la destruction de vie humaines et de peuples.

Cette œuvre est un appel à la résilience face aux drames qui rythment nos quotidiens. Autour de cette sculpture centre, les masques incarnent les êtres humains qui subissent ces violences :

- les blancs, incarnent les êtres qui portent l’espoir et appellent à la paix

- les rouges, couleur du sang, représentent ceux qui souffrent et subissent la violence de ces guerres et de ces massacres

- les noirs, symbolisent les victimes, ceux qui son partis

Djeka & G.Nea

Djeka & G.Nea

02.08.2017 - 10:00 > 03.08.2017 - 19:00
Djeka & G.Nea

Présentation des oeuvres // ateliers

DJEKA

Dans cette série, Djeka revisite les grands classique de la peinture occidentale, de l’antiquité à nos jours, en s’appropriant les nus de Raphael, Ingres ou encore Matisse. Point de départ de ces créations, les palimpsestes de l’artiste sont une accumulation de fragments d’images, de matières et de textes sur lesquels reposent ces silhouettes de femmes aux formes généreuses.

Les mêmes figures de femmes reviennent inlassablement, références directes aux statuaires Akan. Pour l’artiste, le nu est omniprésent dans l’histoire de l’art tant dans la peinture occidentale que dans les statuaires traditionnels Akan.

Les Akans - descendants de la Reine Abla Pokou (XVIIIe) – ont pour caractéristique d’être un groupe ethnique dont les sociétés sont matrilinéaires, le femme revêt un rôle essentiel tant de le domaine politique, économique que social. Dans cette dynamique, Djeka pose un regard quasiment divin sur la femme, sur celles qui donnent la vie, perpétuent les générations, transmettent le pouvoir et le savoir.

Selon l’artiste, la globalisation tend à évincer les minorités et les traditions au profit d’une uniformisation des modes de fonctionnement et de pensée. Djeka invite à repenser la place des femmes dans nos sociétés, il affirme l’importance de déplacer le regard pour observer les différents systèmes qui ont fondé la complexité du continent.

____________________________________________________________

G.NEA

Arrêtons, installation, 2017.

Arrêtons est une installation composée d’une sculpture centrale surélevée, entourée de 33 masques.

Cette œuvre est un écho aux multiples conflits armées qui persistent et éclatent chaque jours dans ce monde. Les 2400 (appellation commune des machettes au Bénin) incarne par métonymie, toutes les armes utilisées qui perpétuent la destruction de vie humaines et de peuples.

Cette œuvre est un appel à la résilience face aux drames qui rythment nos quotidiens. Autour de cette sculpture centre, les masques incarnent les êtres humains qui subissent ces violences :

- les blancs, incarnent les êtres qui portent l’espoir et appellent à la paix

- les rouges, couleur du sang, représentent ceux qui souffrent et subissent la violence de ces guerres et de ces massacres

- les noirs, symbolisent les victimes, ceux qui son partis

Galerie photo